Claudia Weber habite vers Munich et prend souvent le train. Elle adore tricoter aussi. En 2018 elle a tricoté une « écharpe de retard de train ». Par jour elle a tricoté deux lignes : en gris pour les retards de moins de 5 minutes, rose pour les retards entre 5 et 30 minutes, rouge pour les retards de plus de 30 minutes.
Transformez vos bouchons de liège en pinces qui referment vos sachets !
Vous vous êtes déjà demandé ce que vous pouviez faire de ces nombreux bouchons de vin qui traînent partout chez vous depuis que vous avez organisé le diner pour les 80 ans de tante Gertrude ? Sachez que les bouchons de liège font d’excellentes pinces à refermer les sachets alimentaires de céréales, de café, de thé etc… comme vous pouvez le voir sur la photo.
Prenez un bouchon en liège de bouteille de vin, fendez-le délicatement sur la moitié de sa longueur, sans vous couper les doigts et le tour est joué ! Vous êtes l’heureux propriétaire d’une pince à sachet ultra-design !
Skateboard fait à partir de bouchons de bouteilles en plastique recyclés. Photo : Wasteboard
Des bouchons de bouteilles en plastique recyclés en skateboard, c’est une idée qui roule.
Wasteboards est une entreprise néerlandaise qui recycle des capsules de bouteilles en plastique pour fabriquer des planches de skateboard.
Bouchons de bouteilles en plastique, en miettes, prêtes à être recyclées. Photo: Wasteboard
La planche est faite en deux couches: la couche de base inférieure est constituée de bouchons en plastique broyés, le dessus est fait de bouchons entiers qui, dans un moule chauffé, sont fusionnés avec la couche inférieure.
L’ensemble du processus de production prend environ 2 heures.
Les capsules pour les wasteboards sont collectées, par exemple, lors de festivals de musique, ou pêchées dans les canaux d’Amsterdam par la société Plastic Whale.
Quand la créativité naît de la nécessité : le Do-it-yourself à Cuba.
Un documentaire sur le Recycling, le Up-Cycling et le mouvement du « Do-it-yourself » à Cuba.
Ernesto Oroza, artiste et designer, a étudié les multiples objets de débrouille que Cuba a vu naître pendant les années 90. Une période où le pays a souffert de l’isolement économique dû à la chute de l’Union Soviétique, ce qui a amené les gens à devoir créer des machines faites de simples objets du quotidien, pour leur survie. Oroza a commencé à rassembler ces machines et à les exposer par la suite comme «objets artistiques» issus d’un mouvement qu’il a surnommé
Baptiste Menu – Plasticien Designer a créé ce fauteuil en s’inspirant du célèbre fauteuil LC2 Le Corbusier. Le cuir et l’acier ont été remplacés par des sacs de pommes de terre et des palettes recyclées. Bien joué !